26/09/25
Pour la plupart des marques, le mot « référencement » évoque encore le classique Search Engine Optimization, c’est-à-dire l’art d’optimiser son site pour être bien classé dans les résultats de recherche. Mais dans l’ombre de cette discipline bien rodée, une mutation s’installe discrètement : le Generative Engine Optimization, plus simplement GEO.
Là où le SEO travaille la position, le GEO vise la citation dans la réponse d’une IA. En 2025, on estime que près de 60 % des recherches informatives déclenchent désormais une réponse générée par IA plutôt qu’une simple liste de liens (source : seo.com).
Du clic à la mention
L’époque où l’on cliquait pour trouver laisse place à celle où l’on demande pour recevoir. Les utilisateurs interrogent ChatGPT, Perplexity ou Gemini et obtiennent une réponse prête à consommer, souvent sans même quitter la fenêtre. Le GEO consiste à préparer ses contenus pour être compris, repris et cité par ces modèles conversationnels. Cela passe par une écriture claire, des données structurées, et des réponses directes aux questions que se posent réellement les gens.
Pourquoi agir maintenant
Selon McKinsey & Company, 21 % des entreprises utilisant l’IA générative ont déjà modifié leurs processus internes. Ce n’est plus une spécialité technique, c’est un levier stratégique. Le SEO classique continue d’avoir de la valeur, mais la visibilité de demain se gagnera dans la réponse, pas dans la page. Le futur ne sera plus le premier lien mais la première suggestion.






